Le mouvement associatif se lance dans un baroud d'honneur contre le projet de réforme du Code des sociétés. Pour lui, l'enjeu est clair : si le texte du ministre Koen Geens passe tel quel à la Chambre, les ASBL seront remplacées à terme par des "entreprises lucratives sans but"…
Politiques sociales
Ariane Estenne accède pour quatre ans à la présidence du Mouvement ouvrier chrétien, coupole de la Mutualité chrétienne. Changement de style en vue, assurément !
Le Conseil des Droits de l'homme des Nations-Unies s'est réuni à Genève à la mi-octobre. Parmi ses tâches : avancer dans l'écriture d'un traité pour protéger les populations des abus commis par des entreprises. L'occasion, pour un consortium belge d'ONG et de syndicats, de mobiliser sur cet enjeu.
Pour les personnes qui perçoivent des prestations sociales, la vie en couple, en famille ou en colocation est, le plus souvent, synonyme de perte importante de revenus. En cause : le statut de cohabitant qui imprègne les réglementations sociales. Depuis quelques années, ce statut revient au centre des critiques. Le Service de lutte contre la pauvreté, la précarité et l'exclusion sociale, organe interfédéral de dialogue et de recommandations, appelle les politiques à une réflexion approfondie de ce statut. Objectif : davantage d'équité et une adaptation aux réalités d'aujourd'hui.
Le secteur associatif s'inquiète de la réforme du code du commerce du gouvernement fédéral. Celle-ci pourrait avoir pour effet de décourager tant la création que la gestion de dizaines de milliers d'ASBL. Une pétition en ligne est lancée.
Les mots "demandeur d'asile" et "réfugié" évoquent des statuts différents. Cette terminologie détermine aussi les aides auxquelles ces personnes peuvent prétendre en Belgique. Explications.
Il y a bien des manières de vivre sans abir ou sans domicile fixe... La diversité de ce "mode de vie" entraîne, dans notre pays, une grande imprécision sur le nombre de personnes plongées dans cette forme de précarité extrême. Une étude universitaire tente d'y voir clair.
Une réforme du crédit-temps, initiée par les représentants des employeurs et des travailleurs fin 2016, est entrée en vigueur en deux étapes, la première en avril dernier et la seconde ce 1er juin. Des avancées en particulier pour les parents et les aidants qui peuvent bénéficier, au fil de leur carrière, de congés plus longs pour prendre soin de leurs proches. L'occasion de faire le point sur ce dispositif dans le secteur privé.
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